Comment reconnaître un mail tester de qualité

Renaud Garelli

Dernière modification le septembre 2 2024

Tous les services de vérification email ne se valent pas

 

Comme toujours, lorsque vous cherchez un service sur Internet, vous n’avez que l’embarras du choix, et la recherche d’un vérificateur d’adresses email ne déroge pas à la règle!

Mais comment différencier un bon mail tester d’un moins bon, quand on n’est pas un expert de l’Emailing? Comment être sûr que le choix que l’on envisage est adapté et non pas une arnaque ou un service défaillant ? Comment savoir si un outil de vérification email est réellement fiable? Et plus généralement, comment fonctionne un mail tester?  Eh bien si vous vous posez ces questions-là, cet article est fait pour vous!

 

différentes catégories mailtester


Nous n’allons pas faire ici un énième article de comparaison entre tel ou tel vérificateurs d’email existants, mais plutôt vous aider à identifier les signes permettant de vous y retrouver et de mieux naviguer par vous-même dans cet univers de l’Emailing et des mailtester.


Différentes catégories de vérificateurs d’email

 

Le premier élément que vous devriez garder en tête est celui du bon sens : comme dans tous les aspects de la vie, une expertise dans un domaine nécessite du temps et de l’implication : on se focalise sur un sujet, on apprend, recoupe, on fait des liens et on finit par avoir suffisamment d’expérience et de savoir-faire pour être armés et efficaces pour répondre à la problématique donnée.

Rien ne remplace l’expérience réelle dans un domaine pour être véritablement apte à donner des conseils éclairés et à comprendre les tenants et aboutissants d’un sujet complexe. On ne peut par exemple pas se prétendre expert d’un domaine en étant un simple revendeur… or saviez-vous que 3/4 des mail tester du marché ne sont en fait que des revendeurs de solutions en marque blanche ? C’est-à-dire qu’il s’agit de revendeurs qui ne connaissent pas le sujet de l’Emailing à proprement parler, mais qui ont fait un site web plus ou moins ergonomique et qui utilisent un service tiers en sous-traitance externe pour réaliser l’action technique de la vérification des emails.
Comme leur but est souvent de faire une solution clé en main rapidement (avant de passer à un autre produit totalement différent), le choix se porte très souvent sur une solution à bas coût pour le raccordement technique, et donc une qualité de vérification email qui est limitée, voire carrément en dessous du minimum requis pour certains mail tester. Le seul point réellement travaillé étant le soin du design graphique de ces solutions, car c’est ce qui leur permet de se différencier les uns des autres, puisque la qualité de la prestation technique est quasi-identique d’un outil à l’autre (via le même moteur de validation externe) sur cette gamme-là de mail tester.

Ces solutions ont tendance à s’être multipliées au fil des années et constituent aujourd’hui la majorité des mail tester retrouvés en France, aux USA ou dans l’ensemble des pays.
Au final, seul 1/4 des logiciels de vérification email sont donc des solutions « home-made », c’est-à-dire qui vendent un service dont ils ont l’expertise propre en interne, et dont les conseils sur les résultats de classification sont autrement plus pointus.

Le premier aspect que nous vous conseillons donc de vérifier dans votre choix d’un mail tester, est si la solution envisagée fais bien partie des solutions expertes sur ce domaine, afin d’éviter les simples revendeurs.

Mais comment déterminer si tel ou tel mail tester est un véritable spécialiste du domaine, avec une expertise et des conseils avisés, et non un énième revendeur qui a simplement changé le packaging et qui ne sait pas réellement ce qu’il vend (ni-même comment cela fonctionne) ?

Eh bien l’analogie du restaurant est je trouve assez parlante pour étayer ce propos! Lorsque vous allez au restaurant, vous regardez en premier la carte. Or c’est un fait relativement connu que s’il y a beaucoup de plats proposés (et qu’en plus ils sont issus d’univers culinaires très différents les uns des autres), alors il y a de très fortes chances que la cuisine proposée par ce restaurant soit des plats achetés / surgelés et non du fait-maison.
Eh bien ici c’est la même chose : l’Emailing demande une expertise pointue, et il en est de même pour le monde du SMS. Ainsi, si un site vous propose de vérifier au même endroit : vos adresses emails, vos numéros de téléphone portable, et vos adresses postales de clients… alors vous pouvez être quasi certains que ce service est un simple revendeur et non pas un expert du domaine.

Malheureusement, le simple fait de ne proposer QUE de la vérification d’email ne veut pas dire pour autant que le site soit un expert du domaine. Il faudra donc aller au-delà de cette première étape, et challenger la solution sur des questions techniques : faites une demande au support en indiquant que vous souhaitez parler à un expert technique pour exposer votre problématique précise (car si vous souhaitez faire appel a leur service, c’est que vous avez une problématique de délivrabilité email).
Si vous n’obtenez pas de réponse, ou une réponse au bout de plusieurs jours seulement, ou encore que le support ne vous propose que des réponses basiques par email (sans possibilité de parler de vive voix avec un expert), alors là aussi vous saurez que le mail tester concerné se situe plus du côté des revendeurs que des experts de cette problématique.


Fondements des mail tester de bonne qualité

 

Dans le métier de la vérification email, il existe certains éléments fondamentaux qui se doivent d’être respectés, et qui devraient être implicites. Malheureusement avec l’émergence de ces solutions « low cost » souvent opaques dans leur fonctionnement, il devient de plus en plus difficile pour les clients de savoir si ces dernières respectent ces bases obligatoires de bon fonctionnement.

niveau risque faible mailtester

Pour vous aider à y voir plus clair, voici les éléments concernés sur lesquels vous devriez faire tout particulièrement attention lors du choix d’une solution (et sur lesquels vous devriez challenger techniquement la solution envisagée):

La toute première règle dans la vérification email est que l’email réellement vérifié ne doit pas être au courant qu’il l’est : autrement dit la vérification de l’email doit être transparente pour la boite email concernée. L’étape clé ici sera l’appel SMTP fait à la boîte email qui va être vérifiée, mais qui s’arrêtera AVANT la commande d’envoi réel de l’email.

Note : certaines solutions de mauvaise qualité outrepassent cette prérogative et envoient carrément un email à chaque adresse vérifiée, ce qui est bien entendu une très mauvaise manière de faire, et ce pour plusieurs raisons : c’est préjudiciable pour les emails checkés (qui reçoivent du spam), cela contribue à générer un fort taux d’email indésirables dans les tuyaux d’internet, et c’est légalement non autorisé par les différentes lois qui protègent les utilisateurs finaux de ce type de démarchage (RGPD, CCPA en Californie, etc)

La fiabilité de la vérification doit être d’au moins 98 % :

Il y a deux éléments soulevés par ce point-là :

* le premier consiste a être capable de reconnaître (avec une forte fiabilité) les différents codes SMTP obtenus en retour (dans la phase de vérification SMTP), et ainsi déterminer de manière relativement sûre quand un email est valide ou quand il est invalide.

* Le deuxième aspect de ce fondement est de ne pas classer au hasard les emails dont on n’a pas pu trouver le statut. En effet certains emails sont particulièrement difficiles à vérifier car les domaines qui les hébergent se protègent contre la vérification de leurs adresses. Dans le cas où le statut définitif n’a pas pu être trouvé, alors la classification en email « indéterminés » s’impose, même si certains mail tester de mauvaise qualité auront tendance à préférer le hasard dans la classification (en positionnant tantôt des emails dans la catégorie « valide », tantôt dans la catégorie « invalide ») plutôt que d’admettre qu’ils n’ont pas pu déterminer de manière réelle leur statut. Cette fausse classification fait perdre de nombreux contacts valides, tout en introduisant des bounces sur les emailing tagués valides, ce qui est doublement préjudiciable pour la personne qui a demandé à vérifier ses emails

La vérification email ne traite que des HARD bounce (et non pas des SOFT bounce) :

Le but premier de la vérification des emails est d’enlever tous les emails qui ne sont plus routables (c’est-à-dire les emails sur lesquels on ne peut plus envoyer un mail, quelle que soit l’adresse émettrice utilisée ou la configuration du serveur d’envoi), ce qui constitue uniquement les HARD bounces.

Ne jamais utiliser (autrement que pour la vérification demandée) ni revendre les adresses emails qui ont été vérifiées

Note : certaines solutions bas de gamme à tarifs cassés utilisent un pseudo-service de vérification email comme un « appât » pour collecter un très grand nombre d’adresses emails. Leur but étant au final de se faire de l’argent non pas en vérifiant les emails, mais plutôt en revendant ces impressionnantes quantités d’emails à des spammeurs par la suite. Attention donc quand le prix d’une solution est totalement décorrélée des prix moyens du marché, car souvent quand « c’est trop beau pour être vrai », c’est qu’il y a une arnaque derrière.

Être capable de vérifier à minima 80 % de l’ensemble des emails demandés (par exemple ne pas fournir des résultats où il y aurait 50 % des emails qui seraient classés en emails « indéterminés ») :

Un bon service de mail tester doit posséder une infrastructure technique adaptée lui permettant de vérifier un grand pourcentage des adresses emails demandées : si après un premier essai d’une solution, le taux d’email « indéterminés » obtenu est élevé, alors c’est probablement que la solution testée n’est pas de suffisamment bonne qualité.

Ne pas (ou peu) utiliser de solution de cache dans les résultats :

Certaines solutions gardent en cache (en mémoire) pendant de long moment les résultats de vérification précédemment obtenus pour diminuer leur coûts de fonctionnement, or cela est fortement préjudiciable pour la qualité de la validation : les emails étant sujets à des changements rapides de leur statut, le but premier d’un mail tester est de renvoyer des statuts à jour (et non pas périmés) sur les emails testés

Être capable de vérifier immédiatement les adresses email de la majorité des pays :

Le marché de l’Emailing étant un marché mondial, ce prérequis implique que le mail tester doit connaître les principaux FAI email mondiaux, mais aussi les spécificités des principaux FAI nationaux des différents pays. Certains mail tester de faible qualité ne connaissent que les principaux email providers mondiaux (gmail, hotmail, yahoo, aol) et seront par exemple incapables de vérifier une adresse email sur les domaines moins connus, entraînant un fort taux d’email classés en « emails indéterminés » sur ces derniers.

Être capable de vérifier aussi bien des emails personnels (B2C) que des emails professionnels (B2B)  :

Certaines solutions de vérification email sont orientées uniquement pour les besoins du growth-hacking et pour la validation des leads qu’ils vendent à leurs clients.
Ainsi le mail tester proposé est très souvent diminué dans sa capacité à vérifier autre chose que des emails professionnels. Beaucoup de ces outils ne sont donc pas de véritables mail tester en soi, car incapables par exemple de vérifier les emails sur les gros ESP tel que gmail, outlook ou yahoo (et encore moins les ESP nationaux des différents pays). On retrouve assez souvent ce type de mail tester “limitatif” sur les solutions de recherche de leads qui ont développés leur solution de validation en interne pour leurs besoins propres, mais ces derniers ne peuvent donc pas être comparés à de véritables mail tester (qui peuvent quand à eux valider n’importe quel type d’adresses email).

Garantir un taux de bounce ≤ 3 % sur les emails identifiés comme « valides » :

L’attente première d’un client qui fait vérifier ses adresses emails est de pouvoir utiliser ses résultats (pour ses envois emailing prévus en suivant), sans que cela ne lui pose de blocage ou de problème de délivrabilité.
Il faut donc que les résultats obtenus soient suffisamment fiables afin que l’utilisation des emails classés comme « valides » ne posent pas de soucis de délivrabilité dans ces envois.
Pour cela on considère que le taux maximum de hard bounces acceptables dans les emails classés comme valides doit être de 3 %. Ce taux permettant aux routeurs emails de ne pas bloquer les envois, et aux domaines de réception (tels que gmail, hotmail, etc) de ne pas dégrader la délivrabilité des emails reçus.

Être capable d’évoluer vers un plus haut niveau d’exigence :

Au-delà de la vérification technique, le but des vérificateurs d’email de qualité est d’aller graduellement au-delà de la vérification purement fonctionnelle de la boite email : en effet, à quoi bon envoyer un email sur une adresse email techniquement valide si l’on sait pertinemment qu’il n’y a pas un humain derrière qui la contrôle ?
Cette adresse email pourra avoir une utilité qui lui est propre (par exemple pour la réception de notifications et autres actions automatisées), mais elle ne présentera pas d’utilité dans le sens marketing du terme : y envoyer une newsletter ou des emails de démarchage n’aura aucun intérêt pour un publicitaire ou une société. Et au-delà de l’intérêt nul pour tout annonceur, c’est aussi de l’argent et du CO2 de consommé, qui quand ils sont multipliés par un grand nombre d’emails peuvent entraîner des coûts importants, financièrement et écologiquement parlant.

 

Différence de granularité des résultats obtenus

 

Un aspect particulièrement intéressant à regarder est la granularité de classification des emails lors de l’obtention des résultats.

Beaucoup de solutions (dont les solutions de type revendeurs) n’offrent qu’une classification basique avec 3 niveaux de classification :

* email SAFE (sûrs)
* email RISKY (risqués)
* emails UNSAFE (non-sûrs)

Cette classification, qui atout de même le mérite d’être facile à comprendre, ne permet pas à l’utilisateur de faire un choix éclairé dans ses futurs envois d’emails. En effet, on ne sait pas si les emails risqués peuvent être utilisés ou non, et où se situe le risque de ces derniers.
Dans les faits, certains emails classés en « risqués » peuvent présenter plutôt un risque de bounce (qu’il conviendra de quantifier pour estimer ce risque), ou plutôt un risque d’engagement utilisateur plus faible (taux d’ouverture, ou taux de clic qui est estimé comme étant plus faible sur ces adresses emails précises).
On notera également que plus le mail tester sera de faible qualité et plus le pourcentage « d’emails risqués » sera élevé, car il contiendra également tous les emails qui n’ont pas pu être correctement validés par le mail tester.

Comme vous l’aurez compris, il est donc important que le mail tester donne plus de quantification sur le risque résiduel des emails vérifiés, et c’est pour cela que les outils de vérification d’adresses emails de bonne qualité offrent en général plusieurs sous-catégories supplémentaires, ce qui permet beaucoup plus de finesse dans le choix de la conservation (ou du retrait) des adresses emails concernées.

Par exemple, chez Mailnjoy, notre solution permet une classification détaillée dans 15 sous-catégories, bien loin des 3 énumérées ci-dessus, ce qui permet une grande flexibilité dans les choix d’utilisation des résultats obtenus.


Le prix est-il un indicateur fiable de qualité ?

 

Une infrastructure de vérification email de qualité implique un coût non négligeable pour la société qui l’héberge en interne, c’est pourquoi le prix de vente peut être un indicateur intéressant à regarder au départ.
En effet un mail tester affichant des prix nettement plus bas que toute la concurrence ne peut pas être une solution de qualité, et comme évoqué précédemment, risque surtout d’être un piège pour voler vos contacts et les revendre ensuite. Attention donc aux offres qui paraissent trop alléchantes, ou aux solutions de type LTD (Life Time Deal) qui ne sont quasiment jamais des solutions sérieuses ou pérennes.

À l’opposé, les dérives sont aussi présentes, car certains mail tester proposent des tarifs 3 ou 4 fois plus élevés que les autres, sans apporter aucune différence notable (en termes de qualité et fiabilité du service) par rapport aux autres solutions. Ces tarifs excessifs pouvant rassurer certaines personnes qui pensent que c’est forcément synonyme de meilleure qualité, mais en pratique il n’en est rien et vous auriez pu avoir un service équivalent (voire parfois supérieur) à un prix nettement plus faible.

Ces différences de prix peuvent aussi être parfois expliquées par le fait que le marché des vérificateurs email est mondial, et donc qu’une solution peut paraître excessivement chère pour un européen, alors qu’elle représente un tarif correct pour une personne résident aux USA (ou inversement). Le pouvoir d’achat et le prix moyen des services étant indexés sur le coût de la vie relatif à chaque pays, on notera des disparités assez grandes de prix entre des services de qualité identique mais dont la localisation géographique diffère.


Autres critères de choix

 

Dans le cas de solutions équivalentes en termes de qualité / fiabilité (et à prix à peu près similaire), alors le choix se portera souvent sur l’affect et l’aspect pratique : on aura souvent tendance à privilégier une solution issue de son propre pays par rapport à une solution d’un pays étranger. En effet, la simple différence de fuseau horaire peut représenter un frein si l’on doit contacter régulièrement le support client, ou si les horaires de travail sont fortement décalés d’un pays à un autre.

La simplicité d’accès et la réactivité du support client sont également des éléments à considérer, ainsi que les langues dans lesquelles il est possible de communiquer avec lui.

Le dernier aspect à considérer est relatif à l’aspect juridique: les adresses emails étant des données personnelles, il faudra vérifier que la solution de mail tester choisie respecte bien les exigences légales auxquelles le client doit se soumettre dans son propre pays (par exemple : le RGPD pour les clients européens, etc)


Résumé des risques d’un mail tester de mauvaise qualité

 

Comme vous l’aurez compris à la lecture de cet article, le choix d’un mauvais service de vérification email peut entraîner plusieurs effets néfastes pour l’utilisateur.

niveau risque élevé mailtester

 

 

Voici un listing des conséquences négatives qui peuvent en découler :

Possibilité de vols des contacts emails (qui étaient sensés être juste vérifiés), avec utilisation ou revente de ces derniers à entités tierces

Possibilité de non respect des réglementations spécifiques (type RGPD ou autre)

Classification erronée des adresses emails dans les différentes catégories, pouvant entraîner soit une perte de contacts trop grande (emails faussement classés en « invalides »), ou au contraire un taux de hard bounce encore trop élevé à l’issue de la validation (emails faussement classés en « valides »). Cette classification erronée peut donc entraîner de multiples conséquences en chaîne, qu’elles soient relatives aux ROI des campagnes email ou a des problématiques de délivrabilité

Peu de granularité dans les résultats obtenus, laissant planer un doute trop fort sur quels emails sont réellement utilisables et lesquels sont risqués.

Ne pas pouvoir différentier les emails qui sont « techniquement valides » mais qui ont également une faible valeur commerciale (possiblement gérés par des robots, autogénérés, etc), entraînant des problématiques de ROI et délivrabilité sur le long court

Peu ou pas de support utilisateur sur l’interprétation des résultats ou sur le classement effectué des emails. Pas de possibilité de parler avec un expert en délivrabilité si le nettoyage email n’est pas suffisant ou n’a pas répondu à la problématique initiale de délivrabilité du client

Classification en « indéterminé » d’un grand pourcentage de emails testés, en dehors des domaines les plus classiques (gmail, yahoo, hotmail), ce qui diminue l’intérêt de la vérification email

Impossibilité de vérifier correctement les emails sur des domaines de type B2B (emails professionnels) ou B2C (email personnels)

Impossibilité de vérifier correctement les emails appartenant à domaines complexes (par exemple : sfr.fr, free.fr, t-online.de, etc)

Ne différencie pas les domaines catchall des domaines « protégés » (lesquels sont des « faux catchall » et qui feront un bounce lors d’un envoi d’email sur une boite inexistante)

Peut présenter un taux de bounce elevé (> 5%) même dans la catégorie des emails classés comme « SÛR », engendrant un risque de délivrabilité


Synthèse

 

 

solution meilleur vérificateur email

Voilà, vous avez maintenant toutes les cartes en main pour dénicher LE mail tester qui sera votre partenaire de confiance dans cette étape importante de l’Emailing qu’est le nettoyage des emails!

Nous espérons que ces éléments vous permettront d’éviter les pièges qui auraient pu vous faire choisir une mauvaise solution sans en être réellement conscient, et vous évitera ainsi d’en subir les conséquences néfastes.
Si cette analyse vous a intéressé et que vous souhaitez aller plus loin encore dans votre compréhension, nous vous encourageons à lire également notre dossier technique sur comment vérifier une adresse email , afin que les étapes clés de la vérification email n’aient plus de secret pour vous!

Si vous avez la moindre question sur les éléments techniques soulevés ici, n’hésitez pas à nous contacter pour échanger avec un de nos experts techniques, ou pour réaliser cette étape de cleaning email à nos côtés si vous le souhaitez!